Comment s’assurer contre les contrôles fiscaux ?

Controle assurance

Les contrôles fiscaux sont de plus en plus une réalité à laquelle toute société et tout indépendant sont confrontés. Ces contrôles fiscaux entraînent des honoraires qui ne sont pas prévus dans la lettre de mission de base signée avec BCGFi.

Pour votre gouverne, en général, un contrôle fiscal « classique » prend au minimum deux heures de préparation et quatre heures de contrôle sur place. A cela, il faut bien souvent ajouter des heures supplémentaires pour répondre aux questions complémentaires du contrôleur même après leur passage.

Un contrôle fiscal peut bien souvent coûter un minimum de 700 euros hors TVA.

Depuis quelques années, ces coûts peuvent être pris en charge par une assurance unique sur le marché belge. En effet, celle-ci couvre l’ensemble des honoraires d’un expert-comptable et ce à concurrence de 15.000 euros. Si suite à un contrôle, aucun accord n’est conclu avec l’administration fiscale, la seule issue reste le recours en justice. Là encore, l’assurance couvre les honoraires d’un avocat choisi librement par le client et ce à concurrence également de 15.000 euros.

Le coût d’une telle assurance s’élève à environ 320 euros par an (prix en fonction de la taille de l’entreprise). Ces frais sont en outre entièrement déductibles en tant que frais professionnels.

Une fois le contrat signé, un délai d’attente de 4 mois est exigé par la compagnie avant de couvrir le moindre sinistre.

L’assurance ne couvre nullement le redressement fiscal établi par l’administration.

Cette assurance répond parfaitement à nos exigences, c’est pourquoi nous vous conseillons vivement d’y souscrire.

Si vous êtes intéressé par cette assurance, n’hésitez pas à nous contacter soit par tél : 02.880.65.40 soit par mail à l’adresse : info@bcgfi.be, nous nous ferons un plaisir de vous renseigner.

 

 

Etes-vous correctement enregistré auprès de la BCE ?

réforme société

La banque carrefour des entreprises (BCE) est une base de données qui reprend les données d’identification de votre entreprise ou de votre activité d’indépendant, notamment :

  • Le numéro d’entreprise
  • L’adresse/le siège social/adresse d’exploitation
  • Les unités d’établissement
  • Les activités de l’entreprise (code NACEBEL)

Les autorités publiques renforcent les contrôles portant sur l’exactitude des données d’entreprises reprises dans la BCE. Si ces données sont incomplètes ou inexactes, des sanctions peuvent être appliquées.

Il est prévu des amendes allant de 500,00 € à 2.000,00 € par infraction constatée dans le cas où votre entreprise exerce des activités professionnelles indépendantes différentes de celles mentionnées dans la BCE.

Par ailleurs, lors des contrôles, l’Administration fiscale se base de plus en plus sur les données émanant de la BCE.

Il est donc très important de prendre le temps de vérifier ces données. Pour ce faire, cliquez sur ce lien, il permet de vous connecter en introduisant votre numéro d’entreprise.

Et si vous assuriez votre prochain contrôle fiscal ?

tva

Les précieux conseils d’un expert-comptable/conseil fiscal et une procédure judiciaire totalement couverts lors d’un contrôle fiscal, voilà une aide qui ne se refuse pas !

Le nombre de contrôles fiscaux ou TVA est en constante augmentation et les conséquences peuvent parfois être importantes. Il est donc essentiel de s’entourer des meilleurs experts afin de minimiser l’impact de ceux-ci.

ADMB Omnifisc est une assurance assistance pour les entreprises et les indépendants. La police couvre les contrôles fiscaux et les procédures judiciaires en matière d’impôt sur les revenus et de TVA.

Quels sont exactement les frais couverts ?

Les honoraires des comptables, experts-comptables, conseils fiscaux, avocats, huissiers, et… ADMB Omnifisc vous laisse le libre choix de votre avocat.

Vous ou votre entreprise désirez en savoir plus sur ADMB Omnifisc et vous assurer l’assistance d’experts en la matière ?

Consultez leur site et leur dépliant !

Contrôle fiscal : annonce des actions prévues

tva

controle fiscalL’Administration nous informe, comme chaque année, des actions de contrôles prévues ou en cours visant à inciter le remplissage correct des déclarations.

Ainsi, en 2014, les particuliers les plus probablement visés par un contrôles fiscal sont ceux qui :

  • revendiquent à tort une exonération à l’impôt des personnes physiques belge pour des traitements ou salaires d’origine étrangère
  • n’ont plus été contrôlés depuis un certain temps

Du côté professionnels, les risques de contrôle sont accrus pour les entreprises qui :

  • présentent un ratio chiffre d’affaires – frais ayant évolué anormalement, ou ne correspondant pas à celui de contribuables de situation similaire
  • présentent marge bénéficiaire trop faible en comparaison de la marge bénéficiaire habituelle de contribuables de situation similaire, ou dont la marge a subi une baisse inexplicable
  • ont présenté des achats comme achats privés alors qu’il s’agit en réalité d’achats professionnels, afin de développer un circuit parallèle
  • ont utilisé à tort en tant qu’employeur le système d’exonération de versement du précompte professionnel
  • ont revendiqué ou acquitté à tort un crédit TVA
  • n’ont plus été contrôlés depuis un certain temps